Je suis arrivée à La Parenthèse Beaumarchais épuisée, pleine de doutes et avec la sensation de ne plus avancer. Dès la première séance, j’ai ressenti un apaisement que je n’avais pas connu depuis longtemps. L’accompagnement est doux, attentif, mais aussi très structuré : on se sent vraiment guidé, sans jamais être jugé. En quelques semaines, j’ai retrouvé de la clarté, de la confiance et surtout des actions simples qui ont transformé mon quotidien. Les séances, que ce soit en ligne ou au cabinet, m’ont offert un espace sécurisé où je pouvais enfin déposer ce que je portais depuis trop longtemps. Aujourd’hui, je me sens alignée, plus légère, et capable d’avancer sereinement. Je recommande cet accompagnement à toute personne qui a besoin de souffler, de se retrouver et de repartir sur des bases solides.

À 75 ans, je pensais avoir déjà traversé toutes les épreuves… jusqu’à ce que le cancer de mon mari nous frappe. Depuis des mois, je m’occupe de lui jour et nuit. Je ne me plaignais pas, mais j’étais épuisée, vidée, sans plus aucun espace pour souffler. À La Parenthèse Beaumarchais, j’ai trouvé quelque chose que je n’avais plus : une écoute réelle, un endroit où je pouvais déposer ce que je portais seule. Les séances m’ont permis de prendre du recul, de poser des mots sur ma fatigue, ma peur et ma culpabilité. J’ai aussi appris à préserver quelques moments pour moi, sans me sentir égoïste. Aujourd’hui, je me sens plus stable, plus ancrée, un peu plus forte pour accompagner mon mari. C’est devenu ma bouffée d’air, mon espace à moi. Je n’aurais jamais imaginé que cela puisse m’aider autant.

Après le décès de ma femme, je me suis retrouvé face à un silence que je ne savais plus habiter. Les journées se ressemblaient, lourdes et sans direction. Je pensais pouvoir “tenir le coup” seul, mais j’ai fini par comprendre que j’avais besoin d’un espace pour déposer ce que je ne disais à personne. À La Parenthèse Beaumarchais, j’ai trouvé exactement cela : un endroit où je pouvais parler sans retenue, sans devoir être fort, sans jugement. J’y ai trouvé une écoute vraie, patiente, et une manière douce mais structurée de m’aider à remettre un peu d’ordre dans mes pensées. Séance après séance, j’ai retrouvé du recul, puis de la clarté, puis — timidement — l’envie de faire des projets, même petits. Je repars à chaque fois un peu plus léger, comme si quelqu’un m’aidait à porter ce que je croyais devoir supporter seul. Ce n’est pas un miracle, ni une baguette magique. C’est mieux que ça : c’est un soutien humain, constant, qui m’a permis d’avancer à nouveau. Pour la première fois depuis longtemps, je me sens moins seul.